Emilie Lenoir, férue de littérature…
Emilie nous parle de son parcours, de ses passions, de son recueil de Haïkus et de son 1er roman.
J’ai croisée plusieurs fois Emilie Lenoir, lors de rencontres littéraires et à la 25e heure du livre au Mans… Cette jeune mancelle, férue de littérature, partage régulièrement ses lectures sur Facebook. Pleine de sensibilité, Emilie vient de sortir son 1er roman “La cité d’argent” (écrit durant le confinement, quelques privilégiés ont pu suivre cette aventure sur les réseaux).
Son parcours ?
C’est à l’adolescence, j’ai commencé à écrire mes premiers poèmes et autre textes.
Après un bac littéraire, je me suis dirigée vers une licence d’histoire. Cherchant encore ma voie, j’ai bifurqué vers une formation d’infirmière. Aujourd’hui, et ce depuis 2015, je dévore de nombreux romans, tout styles confondus : j’affectionne particulièrement les contes philosophiques, les histoires qui amènent à réfléchir sur la vie et sur de nombreux autres thèmes. Pour moi c’est un gage de qualité. J’aime les auteurs tels qu’Eric-Emmanuel Schmitt et Bernard Werber qui dans chacun de leurs romans, défendent différentes thématiques.
Grace aux réseaux sociaux, je suis rentrée en contact avec beaucoup d’auteurs auto-édités. L’un d’entre eux, Wendall Utroi (ayant enfin trouvé une maison d’édition), m’a fait confiance pour faire partie de ses bêta-lecteurs sur l’un de ses romans. Je me suis rendu compte de la quantité de travail que représentait l’écriture d’un roman. Après de nombreux échanges, mon goût pour l’écriture se développait petit à petit.
Les Haïkus
Grace à l’autoédition, j’ai commencé par écrire un recueil de Haïkus, des poèmes japonais, illustrés par mes dessins et peintures. J’y ai mis beaucoup d’émotions, celles qui se présentaient à moi à un moment donné, sans censure. Je l’ai appelé « Instant T ». Il n’a pas beaucoup fait parlé de lui, mais il a reçu un accueil chaleureux par les curieux qui se sont intéressés à mon travail.
Son 1er roman
En juillet dernier, j’ai auto-édité mon premier roman, « La Cité d’Argent ». Je me suis lancée dans cette aventure pour un concours. Je n’ai pas été sélectionnée mais j’ai reçu des conseils et des encouragements par les éditrices de ce concours.
Ce roman peut-être qualifié de dystopie ou d’histoire post-apocalyptique. J’y défend des thèmes qui touchent à la planète et à l’environnement. Suite à de grandes catastrophes, la civilisation s’écroule, j’ai imaginé comment une partie de la population survit face à cela. Il y a toute une intrigue qui tourne autour d’une Tour d’Argent. On suit l’évolution d’Arthur, un ado, il va devoir affronter une formation militaire très dure. A travers son histoire, j’y développe également le thème du harcèlement, un thème important pour moi. En fait, cette histoire est une fiction inspirée du monde d’aujourd’hui, de 2020.La suite ?
Pour l’avenir, j’ai d’autres projets en tête. Je prends un peu de temps pour défendre ce roman avant de me lancer à nouveau dans l’écriture et espère aussi trouver une maison d’édition.
Après avoir écrit Instant T sortie en 2019, un recueil de Haïkus et peintures, La Cité d’Argent est la première fiction d’Émilie. Défenseur de l’environnement, elle s’attaque au registre post-apocalyptique. A travers cette histoire, elle se projette et interroge la responsabilité de l’Homme face au dérèglement climatique.
L’avenir appartient à la jeunesse ! Voici le credo de la dictature de la Cité d’Argent. En 2065, quinze jeunes de 15 ans issus du quartier pauvre de la Cité, sont sélectionnés. Ils vont suivre une formation militaire de quinze années qui leur ouvrira les portes de l’Élite de la Cité. Pourquoi un tel protocole ? Que se cache-t-il derrière les murs de la Tour d’Argent ? Comment survivre sur une Terre ravagée par de nombreuses catastrophes climatiques où presque plus rien ne pousse ? Arthur va devoir s’armer de courage !
- Sa page Facebook de lectrice : Croqueuse de livre
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Merci Emilie !
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