En écrivant la Chambre d’Hannah, j’ai souhaité faire entrer le lecteur dans l’Histoire sans jamais qu’il n’ait l’impression de livre un livre d’Histoire. Ce n’en n’est pas un. C’est une ode à l’amitié et à la magie que seuls les yeux des enfants peuvent voir
Mois : septembre 2015
Ces deux là s’écrivent par mail depuis des semaines, et ce soir enfin ils vont se voir. Ceux-là se croisent dans un train, d’un mot leur vie peut changer.
Le Comptoir des soupirs : Ce livre applique un concept autoreverse, d’un coté l’histoire du point de vue masculin et de l’autre du point de vue féminin. On le lit d’un coté et on le retourne pour lire l’autre coté.
Antoine vit dans la banlieue d’une grande ville, près de la gare. Son regard se perd dans la grisaille qui l’entoure : un réseau de poteaux et de fils, des passagers anonymes qui se pressent sous la pluie. Sa vie ne tient pas à grand-chose : le deuil des autres comme travail (il est employé dans une entreprise de pompes funèbres), des souvenirs d’enfance