“L’odieux connard” le titre est à lui même une curiosité. Et là on se dit ‘c’est quoi cette grosse connerie ?”. Cela vous interpelle ! Si, si je sens le curieux en vous qui se réveille… C’est comme pour les potins, tout le monde dit qu’il ne les lit pas et lorsque tu amènes un Voici : tout le monde veut le lire.
Lecture 2016 – 288 pages – Auteur : L’odieux connard – Editeur : Editions POINTS
J’ai rencontré l’auteur au salon St Maur en Poche, le18 juin 2016
« Qu’il est bon d’être mauvais ». C’est le credo de l’Odieux Connard dont le blog compte déjà près de 4 millions de lecteurs. Dans cet ouvrage, il persiste à signer des spoilers de films, tels Twilight en deux minutes, mais il s’interroge aussi sur des questions beaucoup plus pratiques : Comment parler le jeune ? Comment survivre au monde hostile d’une grande surface ? Faut-il coucher le premier soir ?
Ce livre est composé aux deux tiers de textes totalement inédits et d’articles cultes du blog, comme l’art mystérieux du selfie ou la page Facebook d’Hitler.
Mon avis
Il y a dedans des choses très cyniques et très drôles.
Tout dépends à quel degrés vous le prenez, là il faut vraiment le prendre à un degrés très haut de connerie lol.
C’est le genre de bouquin à emmener chez des amis pour le faire passer de main en main, et là il met un temps fou à vous revenir car tout le monde se dit ‘Je veux le lire”.. D’ailleurs je dois le prêter maintenant !
C’est aussi le genre de bouquin à mettre dans une salle d’attente, à lire dans les transports, voir dans les toilettes, pour passer le temps de façon drôle. Et là on te prendra pour une folle/un fou car tu vas rire tout(e) seul(e)!
Tout le monde y trouvera forcément quelque chose qui lui parlera particulièrement… que ce soit sur la vie quotidienne, sur les études, sur la séduction, sur le cinéma…
J’ai beaucoup aimé les passages sur le train et la séduction… Les fausses pages facebook aussi, il ya aussi des tests, ses schémas… C’est divertissant ! Quelle imagination …. et on a envie de s’exclamer à tout bout de champs : Quel connard ! oui quel “odieux” connard.