Tous les matins sont bleus de Daniel de Roulet

J’ai lu “Tous les lointains sont bleus” dans le cadre de la sélection pour 14ème prix du roman Fnac.

Nombre de pages : 249 – Éditeur Editions Phébus – Date de parution : Août 2015 – Genre : contemporain – Date de lecture : juin 2015

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Pendant quarante ans, l’auteur a noté pour lui-même le récit de ses pérégrinations dans le simple but de ne pas les oublier. Sur tous les continents, au fil de voyages d’affaires ou d’agrément, en des endroits chargés d’histoire, au gré de rencontres, à Buchenwald, dans la Kolyma, au Nicaragua ou à Okinawa, il promène un regard doux-amer, une vision inconsolable mais gaie. D’une plume vive et intelligente, cette trentaine de chroniques rendent compte d’une rumeur du monde qui se moque de la mondialisation. Elles racontent comment, à travers les voyages, les pensées vagabondent et la réflexion se forment. Un sentiment nouveau naît quand les lointains se rapprochent.


Mon avis

Tous les matins sont bleus…

Merci à la Fnac et aux Éditions Phébus pour la découverte de cet auteur.

Si “Tous les matins sont bleus m’a emballée au départ puis au fil de la lecture je me suis ennuyée.

Le contexte géopolitique, la vision acérée des événements et des lieux sont intéressants : Buchenwald, Auschwitz, le 11 septembre 2001, Sarajevo, Pondichery, Belfast…
Jolie plume, ce carnet de voyages est un joli recueil de petits récits écrits sur le vif, sur le fil. On y apprends beaucoup sur certains lieux et faits historiques.
Si j’ai adhéré aux petits récits des 2/3 du roman, le reste est très dense.
C’est peut être un livre qu’il faut lire en plusieurs fois ?!?
Je le reprendrais dans quelques semaines pour y relire les derniers récits que j’ai de ce fait survolé, cela en vaut la peine, ces petites chroniques sont captivantes.

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