par Dans le cadre du Printemps du ciném* j’ai vu le film « Mickey 17 » au Cinéma Pathé Gaumont du Mans. Voici mon avis.
* Printemps du Cinéma : du 23 au 25 mars 2025, 5 euros la séance dans tous les cinémas.
Sorti le 5 mars 2025 en salle | 2h 17min | Action, Comédie, Science Fiction | De Bong Joon Ho | Avec Robert Pattinson, Naomi Ackie, Steven Yeun, Toni Collette, et Mark Ruffalo…
L’histoire ?
Héros malgré lui, Mickey Barnes se tue à la tâche… littéralement ! Car c’est ce qu’exige de lui son entreprise : mourir régulièrement pour gagner sa vie.
Mon avis
J’ai aimé ce film à l’ambiance glaciale, c’est un film complexe et les sujets abordés sont tellement d’actualité… Un film visuellement magnifique. Le film part souvent dans de nombreux délires , dans l’absurde, avec des moments graves, angoissants…
Ce film questionne sur la déshumanisation du travail, la dictature, la dérive autoritaire, la colonisation, le fanatisme religieux…
Un film attendu…
Après Snowpiercer (2013) et Okja (2017)… Il y a eu 6 ans entre les sorties de Parasite (Oscar, Palme d’Or 2019) et Mickey 17 du réalisateur sud-coréen Bong Joon Ho. La sortie du film a été plusieurs fois reportée. Il a deux autres projets sont en cours, dont un film d’animation : The Valley. Découvrez sa filmographie
Et 3 ans que nous n’avions pas revu Robert Pattinson au cinéma, depuis « The Batman ». Un rôle pas si simple, Robert Pattinson s’en sort avec brio. Il se donne à fond pour se rôle.
Pour se faire pardonner, l’acteur joue un double-rôle dans la fable de science-fiction de Bong Joon-ho, repoussée plusieurs fois et qui, au final, parle encore mieux de notre époque que lorsqu’elle a été écrite et tournée. Source : allociné
Sommes-nous remplaçables ?
« Le film explore les dilemmes existentiels d’un homme cloné pour accomplir une mission périlleuse sur une planète glacée » c’est une adaptation du roman Mickey7 d’Edward Ashton.
Le réalisateur sud-coréen poursuit ici sa critique des systèmes oppressifs et de la lutte des classes, comme il l’avait fait avec Snowpiercer et Parasite. À travers Mickey, figure ultime du travailleur exploité et interchangeable, Mickey 17 devient une satire cinglante du monde du travail moderne. Le film pose une question troublante : si nous sommes tous remplaçables, avons-nous une réelle valeur ? (source : sortiraparis.com).
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